Eau Hygiène Assainissement

PLHA

Voir plus

Projet JICA Eau Changement Climat

Voir plus

EtudeAnnéeClientDescription du projet
Elaboration de la situation de référence de la gestion organisationnelle, financière et commerciale des systèmes AEP du Notto-Ndiosmone-Palmarin et du Gorom-Lampsar2015Programme d’Eau Potable et d’Assainissement du Millénaire (PEPAM) /Sous-programme PEPAM-BAD, phase 2
Volet Appui institutionnel et Gestion du sous-programme
L’élaboration de la situation de référence de la gestion organisationnelle, financière et commerciale des systèmes AEP du Notto-Ndiosmone-Palmarin et du Gorom-Lampsar résulte de la nécessité de doter le PEPAM et l’OFOR d’un document d’aide à la décision permettant d’optimiser la rentabilité de la délégation de gestion du service public de l’eau potable pour les installations de ces deux systèmes.
L’objectif global de la mission est la production d’un document de référence utile pour une meilleure connaissance de la situation organisationnelle, financière et commerciale des GASUFOR/ASUREP en charge de la gestion transitoire des systèmes AEP du Notto-Ndiosmone-Palmarin et du Gorom-Lampsar. Les objectifs spécifiques de l’étude de la situation de référence se présente de la manière suivante :
- analyser le mode de gestion organisationnelle de chaque système AEP ;
- apprécier la gestion des abonnés et établir les résultats de la gestion commerciale ;
- établir les bilans financiers, la situation des comptes, ainsi que les immobilisations ;
identifier et renseigner la grille des indicateurs de performance portant sur la gestion commerciale de l’exploitation.
AEP des îles du Delta du Saloum - Mission d’ingénierie sociale et de mise en place d’Associations d’Usagers de Forage (ASUFOR)2013-2014Direction de l’Hydraulique / OFORLe Projet d’Alimentation en Eau Potable des îles du Delta du Saloum a pour objectifs l’atteinte des Objectifs du Millénaire pour le Développement en matière d’eau potable et d’assainissement qui vise à « réduire de moitié la proportion des individus privés d’accès à l’eau potable et d’installations sanitaires améliorées d’ici 2015 ». Il est localisé dans les régions de Fatick et de Kaolack et cible une population d'environ 72 000 habitants, répartis au moins à travers 26 villages prioritaires des îles du delta du Saloum qui souffrent de la rareté des ressources en eau douce.
La mission consistera à mettre en place des Associations des Usagers du Forage (ASUFOR) dans les sites bénéficiaires de forage et à former les membres des instances de gestion. Le cabinet devra aussi appuyer l’ASUFOR dans le choix des candidatures à la gérance des systèmes d’AEP et à leur formation. Ce renforcement de capacité a pour finalité la mise à la disposition de ces structures, d’outils et de mécanismes de gestion efficace et efficiente des réalisations. Il s’agira également d’assurer le volet animation/ sensibilisation pour une bonne gestion et une appropriation des installations par les bénéficiaires. De même il faudra établir pour chaque site, un diagnostic participatif débouchant sur la situation de référence et la production d’indicateurs de suivi.
Etude d’Avant-Projet Detaille de 20 Systèmes AEP Multivillages : Etude socio-économique de 20 systèmes d’AEP multi villages dans les régions de Thiès et Louga2012Projet SEN/026 - Accès à l’eau potable et a l’assainissement dans les régions de Thiès et Louga/ Direction de l’Hydraulique Rurale
Route des Pères Maristes Hann BP 6783 Dakar-Etoile
La Coopération Luxembourgeoise intervient dans les secteurs de l’eau et de l’assainissement au Sénégal dans les régions de Thiès et de Louga. D’ailleurs, la concentration de ses interventions dans ces deux zones a permis d’améliorer de manière sensible le taux d’accès des populations rurales à l’eau et à l’assainissement. Le sous-programme SEN/026 fait suite à trois projets (SEN/011, SEN/012 et SEN/017). Il s’inscrit dans le cadre unifié qu’est le Programme d’Eau Potable et d’Assainissement du Millénaire (PEPAM). La mise en œuvre du sous-programme SEN/026 prévoit de faciliter l’accès à l’eau potable à près de 68 000 personnes, mais également à des infrastructures d’assainissement appropriées. Le contexte national de mise en œuvre de la composante d’accompagnement SEN/023 détermine également son option de mettre en œuvre des activités destinées à garantir la durabilité des infrastructures et à assurer l’équité et la transparence dans la gestion.

La mission assignée au cabinet GERAD concerna la réalisation de l’étude d’un avant-projet détaillé des sites des vingt (20) villages centres et des villages polarisés. L’objectif étant de permettre à la Direction de l’Hydraulique Rurale et à la Coopération technique luxembourgeoise de disposer de données qui participent à la formulation d’un projet. Il s’agit de façon spécifique, de :
collecter des informations sur la situation sociale et économique des vingt (20) sites ;
relever les données GPS en degré, minute et seconde de toutes les localités susceptibles d’être desservies par les 20 forages ;
établir le profil de chaque site d’implantation du forage et des villages polarisés ;
disposer d’informations susceptibles de participer à la mise en œuvre du volet animation, sensibilisation, organisation, formation et suivi des ouvrages de production et de distribution de l’eau potable dans un souci d’annihiler les difficultés d’accès de ces populations à l’eau potable.
Projet d’urgence pour l’approvisionnement en eau pour faire face au changement climatique au Sénégal dans les régions de Saint Louis, Matam, Tambacounda, Kédougou, Kaffrine, Fatick et Diourbel - MISE EN PLACE, REDYNAMISATION ET SUIVI DES ASSOCIATIONS DES USAGERS DE FORAGES DE 53 SITES2011-2012JICA/KOKUSAI KOGYO CO., LTD/Direction de l’Exploitation et de la Maintenance (DEM)Le Projet d’Urgence Pour l’Approvisionnement En Eau Pour Faire Face Au Changement Climatique Au Sénégal fruit de Coopération japonaise est intervenu de janvier 2011 à Avril 2012 dans 47 localités du pays pour l’installation d’équipements hydrauliques et l’appui des bénéficiaires dans l’organisation et la formation des structures de gestion.

Le cabinet GERAD était chargé de la mise en œuvre du volet animation et sensibilisation du projet. La mission consistait à la mise en place ou la redynamisation des Associations des Usagers du Forage (ASUFOR par :
- la mise en place des organes de gestion (ASUFOR) selon le modèle de la réforme du système de gestion des forages motorisés ruraux (REGEFOR);
- l’organisation et la formation des membres des instances des ASUFOR (Comité Directeur et Bureau Exécutif);
- le suivi de la gestion des ASUFOR pour une appropriation par les bénéficiaires des règles de gestion et une pérennisation des ouvrages hydrauliques.
Analyse rétrospective et prospective de la contribution des projets d’eau potable et d’assainissement à la promotion du genre et de la bonne gouvernance2011-2012PEPAM - SEN/026La mise en œuvre du 2ème PIC 2007-2011, permet à la Coopération Luxembourgeoise de contribuer à l’amélioration de l’accès à l’eau potable et à l’assainissement qui figure parmi les huit objectifs du millénaire pour le développement. Le volet eau potable et assainissement est exécuté à travers la composante SEN/026, un sous-programme qui s’inscrit dans le cadre unifié qu’est le Programme d’Eau Potable et d’Assainissement du Millénaire (PEPAM). Le sous-programme SEN/026 fait suite à trois projets (SEN/011, SEN/012 et SEN/017).

L’objectif général de l’étude est d’apprécier, suivant une approche concertée, la part contributive des projets financés par la coopération luxembourgeoise dans la promotion du genre et de la bonne gouvernance. La pertinence et l’efficacité sont les cadres majeurs d’analyse. Il s’agira de :
- évaluer le niveau d’adéquation entre les réalisations physiques en matière d’eau et d’assainissement par rapport aux attentes de la population, notamment les femmes et les groupes vulnérables ;
- mesurer le degré de responsabilisation, des différentes catégories sociales dans la conception, la mise en œuvre et la gestion des activités d’eau, d’assainissement et d’hygiène ;
- apprécier l’incidence des projets d’eau potable, d’assainissement et d’hygiène dans les secteurs de l’éducation, de la santé, en matière de création d’emplois et en gains de temps pour les femmes chargées prioritairement de la corvée d’eau et le mode de rentabilisation de ce gain de temps.
Etude de démarrage du Projet d’Appui à l’Amélioration de la Qualité de l’Eau dans les régions de Kaolack, Kaffrine, Fatick et Diourbel2011PEPAM-AQUA/Coopération Technique Belge (CTB)L’objectif spécifique du projet PEPAM-AQUA est de contribuer à l’amélioration de la qualité de l’eau de distribution en milieu rural dans les régions de Diourbel, Kaffrine, Kaolack et Fatick. Plus globalement, le PEPAM AQUA s’inscrit dans le cadre des objectifs du millénaire pour le développement relatif notamment à la réduction du nombre de personnes n’ayant pas accès à une eau saine. Les actions prévues dans le cadre du PEPAM-AQUA devront couvrir les sites des 53 ASUFOR encadrées par le PEPAM-BA dans les quatre régions du bassin arachidier que sont : Diourbel, Fatick, Kaolack et Kaffrine.
Les activités prévues dans le cadre du projet PEPAM-AQUA seront exécutées en collaboration avec les structures centrales et déconcentrées du Ministère en charge de l’Hydraulique et du Ministère en charge de l’hygiène.
La mission concerne d’apprécier à partir du document d’avant-projet, le niveau de réalisme des indicateurs mais également leur niveau de prise en compte des questions de genre. Il s’agit d’une appréciation des indicateurs de base, dont les mises en pratique permettent aux acteurs locaux d’opérer une reformulation d’indicateurs plus facilement réalisables.
Le tableau d’indicateur et le cadre logique du sous-programme PEPAM-AQUA serviront de base de travail pour l’élaboration du plan de suivi-évaluation, notamment :
- la différentiation selon le genre de chaque indicateur objectivement vérifiable ;
- les signes relatifs à l’utilisation des infrastructures d’eau potable pouvant être observés et mesurés pour les traduire en indicateur objectivement vérifiable ;
- la confirmation des valeurs cibles (valeur de base de chaque indicateur, ainsi que la valeur prévue pour la période qui a été retenue) ;
- la validation du système de suivi, notamment les modalités de suivi de chaque indicateur (source, responsable, périodicité, technique de collecte et coût).
Etude de démarrage du projet d’Appui à l’amélioration de la qualité de l’eau dans les régions de Kaolack, Kaffrine, Fatick et Diourbel2011Coopération Technique Belge /Ministère de l’HydrauliqueL’objectif spécifique du projet PEPAM-AQUA est de contribuer à l’amélioration de la qualité de l’eau de distribution en milieu rural dans les régions de Diourbel, Kaffrine, Kaolack et Fatick. Plus globalement, le PEPAM AQUA s’inscrit dans le cadre des objectifs du millénaire pour le développement relatif notamment à la réduction du nombre de personnes n’ayant pas accès à une eau saine
Effectuer l’état des lieux par rapport à la qualité de l’eau dans les sites des 53 ASUFOR encadrées par le PEPAM-BA dans les quatre régions du bassin arachidier que sont : Diourbel, Fatick, Kaolack et Kaffrine.
Mise en œuvre du volet animation/sensibilisation du projet d’alimentation en eau potable de la ville de Touba
2010-
2012

Direction de l’Hydraulique Rurale (DHR) /Banque Islamique de Développement (BID)Ce présent document s’inscrit dans le cadre de l’exécution du volet animation/sensibilisation du projet alimentation en eau potable de la ville de Touba. Sur financement de la banque islamique de développement (BID) et du SENEGAL, ce projet s’articule essentiellement dans la réalisation d’ouvrages hydrauliques, dans un but de venir à bout des corvées d’eau que connait de manière récurrente la ville sainte, surtout pendant le grand Magal. En plus de l’état d’avancement des travaux, ce rapport porte également sur la gouvernance de l’eau à savoir le jeu des acteurs, le niveau de coordination des activités, les facteurs de blocage de la mission du CIET et les perspectives de mise en place d’une stratégie alternative pour arriver à une participation des populations au coût de l’eau dans cette cité religieuse.
S’inscrivant dans une logique de remplir notre contrat d’encadrement, d’orientation et de sensibilisation pour une meilleure appropriation des réalisations, ainsi que la mise en place de mécanismes d’autogestion par la structure locale, cette mission a pour objectifs :
- de s’enquérir de l’état d’avancement des travaux par le biais de la mission de visite de chantier initié par le projet en rapport avec l’ingénieur recruté par la BID à cet effet ;
- rencontrer les différentes catégories d’acteurs (CIET, sous-préfet, le chef de la division régionale de l’hydraulique de Diourbel, la brigade des puits et forages, le conseil rural de Touba) et l’autorité religieuse de Touba ;
- avoir un aperçu d’ensemble des facteurs bloquants de la gestion de l’eau à Touba ;
- définir un planning d’animation/sensibilisation ;
- définir une stratégie alternative de prise en charge du coût de l’eau.
PEPTAC 1 et 2 : Etudes diagnostiques de 35 sites bénéficiaires de forages, mise en place ASUFOR, formation et suivi2003-2007Agence Japonaise de Coopération Internationale (JICA) /Direction de l’Exploitation et de la Maintenance (DEM)Le Projet Eau Potable pour Tous et Appui aux Activités Communautaires (PEPTAC) phase 2 a pour objectif de mettre en place, en valorisant les résultats de la phase 1, un système d’utilisation durable de l’eau potable dans les sites des installations hydrauliques qui feront l’objet de la phase 2. Une première phase a été effectuée de 2002 à 2005 sur 25 sites répartis dans les régions de Thiés, Louga, Saint Louis et Matam. La phase2 qui vient de démarrer concerne 35 sites de forages localisés dans la région de Tambacounda.
Le PEPTAC s’intègre dans le nouveau programme dénommé Programme d’Eau Potable et d’Assainissement du Millénaire (PEPAM 2015) qui constitue le cadre unifié d’intervention des nouveaux programmes hydrauliques. Ce programme a pour objectifs l’atteinte des Objectifs du Millénaire pour le Développement en matière d’eau potable et d’assainissement qui vise à « réduire de moitié la proportion des individus privés d’accès à l’eau potable et d’installations sanitaires améliorées d’ici 2015 ».

L’étude de base vise d’une part une meilleure connaissance de la zone d’intervention. Il s’agit de recueillir des informations sur de multiples aspects de la vie sociale et économique villageoise, dont l’analyse permettra de caractériser le profil des sites d’intervention du projet. Elle s’appuie principalement sur une enquête quantitative avec l’administration d’un questionnaire auprès des carrés et une enquête qualitative basée sur l’utilisation d’un guide d’entretien pour les focus-groups et entretiens avec des personnes ressources.
D’autre part, elle vise l’établissement d’une situation de référence qui permettra de disposer d’éléments facilitant le suivi et l’évaluation des actions du projet. Dans ce sens, l’établissement de la situation de référence a été faite à travers l’analyse d’un ensemble de facteurs.
Projet d’Amélioration et de Renforcement des Points d’Eau dans le Bassin Arachidier (PARPEBA) : Etudes diagnostiques socio-économique au niveau de 32 sites du projet ; sensibilisation ; mise en place et formation des structures de gestion des points d’eau 2005-2007Coopération Technique BelgeLe Projet d’Amélioration et de Renforcement des Points d’Eau dans le Bassin Arachidier (PARPEBA) est co-financé par le Royaume de Belgique et la République du Sénégal, concerne :
L’étude diagnostique réalisée dans les sites ciblés vise essentiellement à fournir des éléments permettant de moduler le contenu des phases ultérieures (sensibilisation, organisation, formation) en fonction des réalités locales, tout en donnant des indications relatives aux possibilités de participation financière des bénéficiaires, aux systèmes de tarification souhaités par la population et à la localisation des points de distribution d’eau.
Le volet animation/sensibilisation/formation par l’organisation, le renforcement des capacités et l’accompagnement des bénéficiaires pour la gestion rationnelle et durable des ouvrages hydrauliques.
La formation avait pour objet de fournir aux populations les connaissances techniques nécessaires (entretien/maintenance), les connaissances en gestion (financière en particulier), des techniques simples et reproductibles. L’acquisition progressive par les bénéficiaires des connaissances complémentaires ou nouvelles s’appuiera sur les transferts et les échanges d’informations, de savoirs et techniques.
SG-JAPON 13, PHASE 1 &2 : Animation/sensibilisation/Organisation/ formation de 17 ASUFOR réparties dans 17 sites situes dans les régions de Kaolack, Thiès, Louga, Matam et saint louis au Sénégal 2005-2006Agence Japonaise de Coopération Internationale (JICA) /Direction de l’Exploitation et de la Maintenance (DEM)Japan 13, est un projet hydraulique de réalisation de forage et d’adduction d’eau potable financé par la Coopération japonaise. L’augmentation de la population accessible à l’eau potable à travers l’aménagement de points d’eau, constitue le principal objectif du projet. A cela s’ajoute la pérennisation des ouvrages et des équipements d’exploitation et de distribution de l’eau dans les sites concernés.
Pour ce faire, un volet d’animation, de sensibilisation, d’encadrement et de formation des bénéficiaires a été mis en place avec comme exécutant le bureau d’études GERAD. Ce dernier doit appuyer les bénéficiaires à s’approprier le forage et à mettre en place des mécanismes d’auto organisation et de gestion durable des ouvrages hydrauliques.
Le programme d’animation/sensibilisation vise à mettre en place des mécanismes durables d’auto-gestion des infrastructures hydrauliques, à travers l’organisation et la formation des bénéficiaires, la prévention des conflits pouvant résulter de l’utilisation des ouvrages et, plus globalement, l’appropriation par les bénéficiaires des règles de gestion dont ils auront participé à l’élaboration
Etude de base pour la création d’un Centre International pour l’Eau Potable2001Agence Japonaise de Coopération Internationale (JICA)Ce projet vise le renforcement des capacités de gestion et de développement, par la valorisation des ressources humaines, à travers la création d’un Centre de Formation et de Requalification destiné au renforcement des capacités du personnel et acteurs impliqués dans l’Approvisionnement en Eau Potable pour un accès universel à l’eau potable. Le projet de formation initié par la JICA concernera ainsi les leaders locaux et structures de gestion des ouvrages en vue de pérenniser les équipements et d’améliorer l’accès à l’eau.

L’objectif global de la mise en place de ce Centre de Formation et d’échanges est de transmettre au personnel technique, aux leaders locaux, aux agents d’encadrement et aux structures de gestion des ouvrages hydrauliques les outils méthodologiques et les capacités techniques appropriées pour identifier et hiérarchiser les contraintes de gestion des forages et de définir les stratégies appropriées pour les résoudre de façon durable et efficiente.
Cette étude portait sur un diagnostic des sites où le Japon a réalisé des ouvrages hydrauliques. Elle s’inscrit dans le processus de création d’un centre de formation et de requalification destiné au renforcement des capacités du personnel et des acteurs impliqués dans la gestion et l’utilisation des ouvrages. L’étude devait permettre de dégager les caractéristiques des sites aux plans physique, humain et socio-économique en mettant en relief les potentialités et les contraintes.

Dans la sous-région

Etude exploratoire pour la mise en place d’un programme pays en Mauritanie et au Niger2008WaterAid Afrique de l’OuestEn Afrique de l’Ouest, quatre pays bénéficient de l’appui de WaterAid (Burkina Faso, Ghana, Mali et Nigéria). La revue à mi-parcours de la stratégie développée en Afrique de l’Ouest, a produit des recommandations allant dans le sens d’étendre la couverture géographique des actions de WaterAid en Afrique de l’Ouest. Par ailleurs, l’extension de la couverture géographique de WaterAid dans d’autres pays d’Afrique de l’Ouest touchés par le phénomène du désert est justifiée par le manque de ressources qui devaient accompagner le transfert de compétences. D’autant plus qu’avec la mise en œuvre de la décentralisation, les collectivités territoriales sont responsables de leur développement et sont tenues d’assurer un accès correct de leurs populations aux services sociaux de base. Toutefois, WaterAid doit opérer un choix de trois pays sur les pays cibles
La mission concerne d’une part, la réalisation d’un diagnostic du contexte de mise en place de nouveaux programmes pays au Niger et en Mauritanie, et d’autre part, la définition d’orientations stratégiques et opérationnelles des futurs programmes au niveau de chaque pays cible. Concomitamment, il s’agira d’identifier les acteurs du secteur de l’eau/l’hygiène/l’assainissement internes et externes et d’analyser les possibilités de partenariat avec le futur programme de WaterAid. Le diagnostic devrait permettre également d’aboutir à une analyse comparative des deux pays cibles en vue de fournir des outils d’aide à la décision à l’équipe de WaterAid Afrique de l’Ouest.
Appui à l’élaboration de Plan Sectoriel de Développement (PSD) dans 19 communes des régions de Bamako, Gao, Koulikoro, Mopti, Ségou et Tombouctou2006-2007WATER AID MALIL’ONG WaterAid, dont la mission est de permettre aux populations les plus pauvres du monde d’avoir accès à l’eau, l’assainissement et la promotion de l’hygiène, contribue aussi fortement au développement des capacités du secteur, en vue de l’augmentation de son financement. La démarche de WaterAid correspond à la volonté de contribuer au recentrage du processus de développement en appuyant les Collectivités Territoriales à mieux inscrire leurs démarches dans le cadre de la décentralisation et de la bonne gouvernance ; d’autant plus que le PSD est un outil de négociation et de plaidoyer capable d’influencer les politiques.

Le GERAD était chargé d’élaborer le Plan Sectoriel de Développement (PSD) axé sur l’eau, l’Hygiène et l’Assainissement. Le PSD qui est un document de planification stratégique à long terme est constitué d’un ensemble d’actions prioritaires clairement identifiées par les populations et destinées à pallier les contraintes entravant l’accès à l’eau potable, aux infrastructures d’assainissement et la promotion de l’hygiène.
Dans le cadre de l’exécution des PSD, il a été mise en place des outils de communication et de sensibilisation pour amener les populations bénéficiaires à consommer une eau potable, à respecter les mesures d’hygiène et à utiliser les latrines.
Il s’agissait également d’appuyer les collectivités territoriales à adopter les stratégies appropriées pouvant faciliter l’exécution des actions retenues dans le Plan Sectoriel de Développement (PSD) axés sur l’eau, l’hygiène et l’assainissement. Ceci implique un ensemble d’actions tournant autour de :
plaidoyer auprès des autorités pour un changement de politique ;
- marketing du PSD au niveau des partenaires au développement afin de susciter leur intérêt pour le financement des actions ;
- application de mécanismes et de modalités de financement satisfaisants pour les partenaires au développement ;
- incitation des parties prenantes à s’engager dans la mobilisation des ressources pour l’exécution du PSD.